Prier en union avec l’Assemblée mondiale de la CVX à Amiens (Mt 13, 47-53).
Je me pose, fais silence et me mets en communion avec les délégués et les bénévoles de cette Assemblée.
J’imagine la joie de ces personnes appelées à servir et réunies au nom du Christ.
Je demande à Dieu d’avoir foi en l’Esprit à l’œuvre en chacun et au cœur de ce rassemblement.
Le royaume des Cieux est encore comparable à un filet que l’on jette dans la mer, et qui ramène toutes sortes de poissons. Quand il est plein, on le tire sur le rivage, on s’assied, on ramasse dans des paniers ce qui est bon, et on rejette ce qui ne vaut rien. Ainsi en sera-t-il à la fin du monde : les anges sortiront pour séparer les méchants du milieu des justes et les jetteront dans la fournaise : là, il y aura des pleurs et des grincements de dents. (Mt. 13, 47-50)
« Jeter, ramener, tirer, s’asseoir, ramasser, rejeter » : après avoir pris le temps d’imaginer ces différentes actions, laquelle me touche particulièrement quand je pense à mon lien à la CVX ? A quoi cela m’invite-t-il aujourd’hui ?
Dans l’homélie de la messe d’ouverture de l’Assemblée, Hervé Le Houerou, assistant de la CVX-France invite l’Assemblée à ne pas se considérer « rassemblée par peur de la perdition, mais au nom de l’amour qui vient et au nom de l’Alliance offerte ». Comment cette invitation retentit-elle en moi ?
Les jours qui viennent pourraient-ils être pour chacun de nous, comme nous y appelle Hervé, un « rendez-vous du Seigneur afin d’ouvrir des chemins de vie, des chemins d’espérance qui libèrent des jugements » ? Quel moyen puis-je prendre pour ce rendez-vous ? J’en parle avec le Seigneur.
Je termine ma prière par ce chant qui me met en union avec l’Assemblée : « Ubi caritas et amor, Ubi caritas Deus ibi est ».